Comment raffermir la peau du visage

 

Resserrer la peau du votre visage ne nécessite que de mesures exceptionnelles. Au lieu d’un ensemble d’injections, les chirurgiens vous indiquent une série de petits ajustements cutanés.

 

Ce qui rend le visage d’une personne plus jeune ou plus vieux c’est la texture, le teint et la couleur de la peau. La perte de collagène contribue également à la perte de volume et à la formation de rides ; le meilleur moyen est de garder une apparence jeune.

 

« Mais ce qui est révolutionnaire aujourd’hui dans le lifting, le raffermissement, c’est la capacité de stimuler plusieurs couches lors d’un remodelage cutané, pas seulement la couche de surface, La couche de surface révèle de nombreux signes de vieillissement, comme les ridules, la décoloration, les vaisseaux sanguins, les taches solaires, les cicatrices d’acné et c’est le remodelage des couches de collagène profondes qui soulève et resserre la peau.

 

Les dermatologues ne sont pas d’accord sur le meilleur traitement, ce qui est compréhensible, car il y a aujourd’hui une panoplie d’options. Les chirurgiens ont des patients différents et des techniques différentes. Les médecins ont également tendance à adopter les appareils qu’ils ont dans leurs cabinets.

 

Jusqu’à quelques années, les moyens pour raffermir la peau étaient soit doux (stimuler le collagène dans les couches supérieures de la peau avec des traitements comme les peelings, les rétinoïdes et certains types de lasers) et sévères (peelings au CO2 ou resserrer la peau avec un lifting chirurgical, qui impliquent tous deux des temps d’arrêt et un plus grand risque).

 

Les personnes qui auraient pu subir un lifting dans le passé optent désormais pour des traitements dermatologiques.  Dans les cabinets des chirurgiens, utilisent les traitements – le lifting aux fils résorbables, les charges, le Botox, les lasers, Ulthera – et ils obtiennent des résultats étonnants.

 

Une consultation détaillée est importante elle est personnelle, rapide et discrète. Elle mentionne les temps d’arrêt, le risque, le coût, la durabilité (combien de temps les effets vont durer), la gravité (en termes d’apparence résultante) et les cicatrices potentielles comme facteurs décisifs.